dimanche 6 décembre 2015

Le Darkness Fanzine n° 16 arrive...


Darkness n° 16 sort dans quelques jours, les réservations peuvent donc déjà se faire chez l'éditeur Sin'Art (ici). Pour mes compatriotes belges c'est également possible en me contactant (rubrique Boutique). Attention, le nombre d'exemplaires disponibles sera limité.

De quoi traitera ce numéro? Présentation par le rédac' chef Christophe Triollet:
"Au milieu des années soixante-dix, l'apparition des magnétoscopes change radicalement la manière de consommer le cinéma, les spectateurs pouvant désormais découvrir chez eux, sans restriction, des films que les salles ne projettent pas. Les éditeurs de cassettes vidéos remplissent alors les catalogues d’oeuvres souvent inédites, parfois pornographiques ou violentes, qui échappent à tout contrôle pour le plus grand plaisir des amateurs de Bis. Au Royaume-Uni, les pouvoirs publics sont alertés par certaines associations familiales qui s'indignent de voir des enfants regarder des films dégradants.
Pour contrer la diffusion d’oeuvres jugées particulièrement dangereuses pour la jeunesse, la police organise des saisies médiatisées dans les vidéoclubs en vertu de la loi de 1959 réprimant l'obscénité. A la demande de la principale association des vendeurs et loueurs de vidéos de Grande-Bretagne qui souhaite éviter que ses membres ne fassent l'objet de poursuites judiciaires, les autorités publient en 1983 une liste de 72 films licencieux stigmatisés sous la dénomination de Video Nasties. Darkness revient sur cette histoire étonnante avec un numéro exceptionnel, chroniquant chacune des oeuvres interdites par les Britanniques au nom de la moralité publique.
Par ailleurs, ce numéro offre une analyse des interdictions aux mineurs de Saw 3D et de Love, ordonnées par le juge administratif français en 2015, qui bouleversent actuellement les règles de classification des films contenant des scènes de très grande violence, ou de sexe non simulées".

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